Alors qu'il s'affaire à collecter les dernières données essentielles pour effectuer son rapport sur le prix du panier d’épicerie, Sylvain Charleboix est optimiste de voir ralentir l’inflation alimentaire.
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Les Canadiens s’adaptent à l’inflation alimentaire. Ils achètent moins, respectent un budget en faisant les emplettes et grignotent davantage !
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Les magasins à un dollar, en particulier Dollarama, proposent des produits alimentaires non périssables identiques à ceux des épiceries traditionnelles, mais à des prix plus bas, souvent inférieurs de 30 % à 75 %.
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Une comparaison des prix entre Dollarama et Loblaws est récemment devenue virale sur les réseaux sociaux, montrant que certains produits d'épicerie affichaient un prix deux fois plus élevé au Loblaws.
(Noovo.info) - (1) - (2)
Au Canada, seuls cinq groupes – dont Loblaw, Sobeys et Metro – se partagent les trois quarts du marché de l'alimentation. Le reste du secteur de l'alimentation est composé d’environ 27 000 dépanneurs et 6900 épiciers indépendants.
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Les consommateurs ne sont pas les seuls à devoir gérer la hausse du prix des aliments. Les entreprises qui fabriquent la nourriture sont dans le même bateau et elles modifient la recette de leurs produits afin d'économiser de l’argent.
(JDM)
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